Après le Vélib’ et le Vélo’v… le V’Lille !
[16.05.2011]Depuis le lancement de l’opération en 2005 à Lyon, les vélos en libre service ont conquis de nombreuses collectivités en France. Paris, Grenoble, Montpellier, Nancy, Nantes, etc., la liste est longue de ces villes qui veulent réduire l’usage de la voiture, développer la mobilité douce et améliorer les possibilités d’inter-modalité. Car le vélo, lorsqu’il est pensé dans le cadre d’une stratégie métropolitaine globale, est porteur de nombreux progrès en la matière.
Ça y est, enfin ! Les Lillois (mais également les habitants de communes limitrophes, La Madeleine, et Mons-en-Barœul dans la première phase de construction des infrastructures) vont pouvoir avoir accès à leur propre Vélib’ en septembre prochain. D’ici à 2014, ce sont 2 000 vélos qui seront mis à la disposition du public, soit plus de 10 000 bicyclettes, en comptant les 8 000 attribuées à la location de longue durée.
Mais il ne suffit pas de constituer une flotte de vélos important (« la deuxième flotte après Paris » d’après Martine Aubry) pour construire une politique durable de mobilité douce. Si la construction des infrastructures se fera selon une programmation de long-terme (d’abord 110 stations à Lille, Mons-en-Barœul et La Madeleine, puis 100 stations dans sept autres communes de la métropole en 2012 : Villeneuve-d’Ascq, Marcq-en-Barœul, Lambersart, Croix, Roubaix, Tourcoing et Wattrelos), elle s’accompagne surtout d’un renforcement des places de stationnements et des pistes cyclables : 3 500 places sécurisées vont être créées pour les vélos personnels, tandis que 840 km de voies cyclables sont progressivement mises en place, et deux Maisons du Vélo prévues pour 2011.
Une stratégie inscrite dans une politique globale visant à faire de Lille une « métropole cyclable », dans l’objectif d’augmenter la part modale des transports doux.
Pour en savoir plus:
Mais il ne suffit pas de constituer une flotte de vélos important (« la deuxième flotte après Paris » d’après Martine Aubry) pour construire une politique durable de mobilité douce. Si la construction des infrastructures se fera selon une programmation de long-terme (d’abord 110 stations à Lille, Mons-en-Barœul et La Madeleine, puis 100 stations dans sept autres communes de la métropole en 2012 : Villeneuve-d’Ascq, Marcq-en-Barœul, Lambersart, Croix, Roubaix, Tourcoing et Wattrelos), elle s’accompagne surtout d’un renforcement des places de stationnements et des pistes cyclables : 3 500 places sécurisées vont être créées pour les vélos personnels, tandis que 840 km de voies cyclables sont progressivement mises en place, et deux Maisons du Vélo prévues pour 2011.
Une stratégie inscrite dans une politique globale visant à faire de Lille une « métropole cyclable », dans l’objectif d’augmenter la part modale des transports doux.
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