So smart: le palmarès des Villes Intelligentes par M2ocity
[18.11.2013]
M2ocity, 1er opérateur en France dédié aux objets communicants « machine to machine », entité formée par Veolia Eau et Orange, a révélé aujourd’hui au salon des maires et des collectivités locales le palmarès 2013 de la ville intelligente en France. Les trois villes lauréates sont : Lyon, Lille, et Nantes.
Après une étude menée auprès de quelques 200 villes sur 1200 projets différents, M2ocity a annoncé un palmarès de 50 « Villes Intelligentes » françaises. L’étude a été effectuée à partir des projets disponibles en lige, et globalement destinés au grand public, tels la presse généraliste et spécialiste, les sites internet municipaux, blogs, Agenda 21 et globalement toutes les informations disponibles destinées au public, comme par exemple des dépliants.
Menée de septembre à novembre 2013 par Sircome, l’étude s’appuie sur huit critères :
Après étude, trois grandes tendances de la ville intelligente sont constatées par l’agence Sircome :
1. Des efforts dans l’énergie
L’énergie est le premier domaine d’action de la ville. Les enjeux sont à la fois écologiques et économiques. Les villes utilisent beaucoup pour support les plans climats énergie territoriaux, et les directives de l’Agenda 21, et réalisent, parfois avec l’apport de capitaux privés, des projets autours des « smart grid », productions locales d’énergie renouvelable…
2. La « smart city » est un outil de communication qui convainc.
Véritable outil de communication et promotion pour la ville, le terme « smart city » est largement mis en avant par les municipalités pour la communication extérieure de la ville. En revanche, l’outil est assez peu utilisé en interne. L’étude préconise des solutions de e-democratie, d’agoras numériques et de démarches de co-construction pour rendre le citoyen acteur de la cité autant qu’utilisateur. A terme, l’ambition serait de modifier les comportements des habitants en les impliquant dans la construction même des projets urbains.
3. Une ville ne peut pas être « smart » sans Internet
Toutes les villes intelligentes ou presque garantissent un accès à internet à l’intégralité de leurs habitants. Partant de ce constat, l’étude distingue trois internet :
1. Lyon
2. Lille
3. Nantes
4. Issy Les Moulineaux, Paris
5. Besançon, Marseilles, Montpellier
6. Le Havre, Nice, Strasbourg, Toulouse
7. Département de la réunion, département de la Vendée, Metz, Tours
8. Bordeaux, Grenoble, Rennes
9. Reims
10. Dunkerque
Il décerne également des mentions spéciales à:
Avignon, Brest, La Rochelle, Limoges, Saint Amand Montrons, Angers, Dijon, Montididier, Perpignan, Chambéry, Clermont Ferrand, La Baule, Nîmes, Aix en Provence, Amiens, Caen, Chartres, Evry, le Mans, Lorient, Mulhouse, Nancy, Saint Etienne, Saint Nazaire, Toulon, Valenciennes, Vannes, Versailles, Villeurbanne.
Après une étude menée auprès de quelques 200 villes sur 1200 projets différents, M2ocity a annoncé un palmarès de 50 « Villes Intelligentes » françaises. L’étude a été effectuée à partir des projets disponibles en lige, et globalement destinés au grand public, tels la presse généraliste et spécialiste, les sites internet municipaux, blogs, Agenda 21 et globalement toutes les informations disponibles destinées au public, comme par exemple des dépliants.
Menée de septembre à novembre 2013 par Sircome, l’étude s’appuie sur huit critères :
- La communication municipale et l’implication citoyenne.
- Le territoire numérique : le degré de couverture du territoire par le réseau, son débit, le taux d’équipement…
- Le cadre de vie : concerne la qualité des espaces publics, mais aussi leurs usages, les actions menées par la municipalité en faveur du développement durable et des liens sociaux ; ainsi que les possibilités d’emploi et de « développement personnel ».
- La maîtrise durable de l’énergie : Concerne les engagements municipaux dans ce domaine, les efforts de sobriété énergétique, et le développement de réseaux électriques intelligents : « smart grid ».
- La gestion responsable de l’eau : porte sur la gestion locale de tout le cycle de l’eau, la qualité, le prix, la tarification, implication et information des utilisateurs.
- Recyclage et gestion des déchets : explore les initiatives locales visant à faire du déchet une ressource valorisée, les coûts de gestion et de collecte, les opérations visant à sensibiliser les habitants et/où à développer les éco-comportements en matière de recyclage.
- Bâtiments Intelligents : mise en perspective des bâtiments intelligents, et opérations d’urbanisme et architecture type écoquartiers, constructions neuves ou rénovation urbaine, bâtiment HQE…
- La mobilité urbaine durable : étudie les développements des projets d’organisation et de gestion des transports urbains, les mises en place de projets d’inter-modalité, des efforts menés par la municipalité sur la « trace » écologique des déplacements urbains, le désenclavement des quartiers et globalement le confort de voyage des usagers.
Après étude, trois grandes tendances de la ville intelligente sont constatées par l’agence Sircome :
1. Des efforts dans l’énergie
L’énergie est le premier domaine d’action de la ville. Les enjeux sont à la fois écologiques et économiques. Les villes utilisent beaucoup pour support les plans climats énergie territoriaux, et les directives de l’Agenda 21, et réalisent, parfois avec l’apport de capitaux privés, des projets autours des « smart grid », productions locales d’énergie renouvelable…
2. La « smart city » est un outil de communication qui convainc.
Véritable outil de communication et promotion pour la ville, le terme « smart city » est largement mis en avant par les municipalités pour la communication extérieure de la ville. En revanche, l’outil est assez peu utilisé en interne. L’étude préconise des solutions de e-democratie, d’agoras numériques et de démarches de co-construction pour rendre le citoyen acteur de la cité autant qu’utilisateur. A terme, l’ambition serait de modifier les comportements des habitants en les impliquant dans la construction même des projets urbains.
3. Une ville ne peut pas être « smart » sans Internet
Toutes les villes intelligentes ou presque garantissent un accès à internet à l’intégralité de leurs habitants. Partant de ce constat, l’étude distingue trois internet :
- Internet des objets connectés, qui permettent une meilleure information sur les consommations et leur gestion.
- Internet de la ville : les projets d’Open data notamment permettent une interaction entre administration et administrés, des informations en temps réel, des partages entre différentes entités (privés, publiques, entrepreneurs, services, etc…
- Internet des particuliers : La ville doit assurer aujourd’hui à ses citoyens un accès à internet : réduire la « fracture » numérique et permettre à tous, en particulier les publics défavorisés, une appropriation de l’outil numérique.
1. Lyon
2. Lille
3. Nantes
4. Issy Les Moulineaux, Paris
5. Besançon, Marseilles, Montpellier
6. Le Havre, Nice, Strasbourg, Toulouse
7. Département de la réunion, département de la Vendée, Metz, Tours
8. Bordeaux, Grenoble, Rennes
9. Reims
10. Dunkerque
Il décerne également des mentions spéciales à:
Avignon, Brest, La Rochelle, Limoges, Saint Amand Montrons, Angers, Dijon, Montididier, Perpignan, Chambéry, Clermont Ferrand, La Baule, Nîmes, Aix en Provence, Amiens, Caen, Chartres, Evry, le Mans, Lorient, Mulhouse, Nancy, Saint Etienne, Saint Nazaire, Toulon, Valenciennes, Vannes, Versailles, Villeurbanne.