Le poulailler urbain a la Côt !
[09.05.2014]Dans le registre des pratiques anciennes abandonnées qui reviennent au goût du jour, le poulailler fait partie des grands favoris des mairies et aménageurs.
Certains, malgré tout, restent sceptiques: "Soyons sérieux, des poules comme solution urbaine..."
Ils ont tord, en matière de poules, le scepticisme n'est pas de mise. Car le poulailler urbain présente bien des avantages. Pensez donc, une poule est capable d'ingérer 150 à 200 kilos de déchets organiques chaque année. C'est autant de déchets en moins à collecter et à traiter.
Au delà de l'aspect technique, un poulailler collectif en pied d'immeuble permet aussi la création d'un lien civique, entre petits et grands, entre voisins... Enfin, elle permet l'apport journalier d'oeufs frais, produits très localement (1 oeuf par poule et par jour environ).
Alors, bien sûr, il faut leur dédier un peu d'espace, et le fermer, car la volaille picore tout sur son passage, et il faut entretenir cet espace. Mais les avantages sont non négligeables, et certaines municipalités l'ont bien compris, en incitant les particulier à adopter leurs propres volatiles, parfois au moyen de campagnes très inventives ! (cf image)
La SIVOM de la vallée de l'Yerre et des Sénarts vient de clore sa liste d'inscription, mais vous pouvez toujours jeter un oeil à leur site:ici
Certains, malgré tout, restent sceptiques: "Soyons sérieux, des poules comme solution urbaine..."
Ils ont tord, en matière de poules, le scepticisme n'est pas de mise. Car le poulailler urbain présente bien des avantages. Pensez donc, une poule est capable d'ingérer 150 à 200 kilos de déchets organiques chaque année. C'est autant de déchets en moins à collecter et à traiter.
Au delà de l'aspect technique, un poulailler collectif en pied d'immeuble permet aussi la création d'un lien civique, entre petits et grands, entre voisins... Enfin, elle permet l'apport journalier d'oeufs frais, produits très localement (1 oeuf par poule et par jour environ).
Alors, bien sûr, il faut leur dédier un peu d'espace, et le fermer, car la volaille picore tout sur son passage, et il faut entretenir cet espace. Mais les avantages sont non négligeables, et certaines municipalités l'ont bien compris, en incitant les particulier à adopter leurs propres volatiles, parfois au moyen de campagnes très inventives ! (cf image)
La SIVOM de la vallée de l'Yerre et des Sénarts vient de clore sa liste d'inscription, mais vous pouvez toujours jeter un oeil à leur site:ici