Le décalage entre les projets urbains présentés sur perspectives numériques et la réalité est souvent une source riche d’interprétation de que représente le fantasme urbain d'une société, la ville rêvée.
Il y a quelques jours, le Blog CarFree avait montré le contraste évident entre des images de synthèse qui vendent des quartiers apaisés, sans voitures, où piétons et cyclistes sont rois, et l’omniprésence automobile des projets finalement réalisés.
Même réflexe semble-t-il pour les images des Gares du Grand Paris Express, à ceci près que les transports en commun ont eux aussi disparu.

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Les photos des 3 premières gares du Grand Paris

Critique sensible d'Olivier Razemon
Futures gares du Grand Paris : attention, ces images ne sont pas contractuelles