Energies fossiles Versus énergies renouvelables
[30.04.2015]Les énergies fossiles ont perdu la bataille contre les énergies renouvelables.
C’est ce que montrent les conclusions du sommet annuel de Bloomberg sur l’avenir de l’énergie, s’étant déroulée du 13 au 15 avril dernier (Bloomberg est une agence spécialisée dans l’économie et la finance), et cette tendance ne devrait pas s’inverser, bien au contraire.
Chaque année le monde ajoute maintenant plus de capacités de production provenant d’énergies renouvelables que d’énergies fossiles (charbon, gaz, pétrole).
Déjà en 2013 la tendance s’était inversée, le monde s’était doté de 143 gigawatts supplémentaires de capacité de production d’électricité provenant de sources renouvelables et de 143 gigawatts de nouvelles centrales utilisant des énergies fossiles. A la fin de l’année 2015 les données devraient être ainsi : 110 gw pour les énergies fossiles et 164 gw pour les énergies renouvelables.
D’ici 2030 il y aura plus de quatre fois plus de capacités en énergies renouvelables que de capacités en énergies fossiles qui seront installées.
Le prix de l’électricité produite à partir du vent et du soleil ne cessant de diminuer, il équivaut actuellement et parfois même est inférieur dans certaines régions du monde à celui provenant de centrales thermiques classiques, donc « la question n’est plus de savoir si la transition dans le monde vers une énergie plus propre se fera, mais en combien de temps elle se fera » affirme l’agence Bloomberg.
Ainsi alors qu’elle ne représente que 1% de la production d’électricité dans le monde aujourd’hui, l’énergie solaire sera la part la plus importante en 2050 selon l’Agence internationale de l’énergie.
Les pays producteurs de pétrole souffrent de cette tendance évolutive, notamment l’Arabie Saoudite, qui avec 11,75 millions de barils produits quotidiennement représente à elle seule plus de 15% de la production mondiale (les Etats-Unis étant le deuxième pays producteur de pétrole avec 11,11 millions de barils soit environ 12% de la production mondiale).
La crainte des dirigeants saoudiens est de voir « la demande atteindre son maximum bien avant la production ». C’est pourquoi nous observons aujourd’hui une baisse générale de 50% des prix du baril, explique enfin l’agence Bloomberg.
Déjà en 2013 la tendance s’était inversée, le monde s’était doté de 143 gigawatts supplémentaires de capacité de production d’électricité provenant de sources renouvelables et de 143 gigawatts de nouvelles centrales utilisant des énergies fossiles. A la fin de l’année 2015 les données devraient être ainsi : 110 gw pour les énergies fossiles et 164 gw pour les énergies renouvelables.
D’ici 2030 il y aura plus de quatre fois plus de capacités en énergies renouvelables que de capacités en énergies fossiles qui seront installées.
Le prix de l’électricité produite à partir du vent et du soleil ne cessant de diminuer, il équivaut actuellement et parfois même est inférieur dans certaines régions du monde à celui provenant de centrales thermiques classiques, donc « la question n’est plus de savoir si la transition dans le monde vers une énergie plus propre se fera, mais en combien de temps elle se fera » affirme l’agence Bloomberg.
Ainsi alors qu’elle ne représente que 1% de la production d’électricité dans le monde aujourd’hui, l’énergie solaire sera la part la plus importante en 2050 selon l’Agence internationale de l’énergie.
Les pays producteurs de pétrole souffrent de cette tendance évolutive, notamment l’Arabie Saoudite, qui avec 11,75 millions de barils produits quotidiennement représente à elle seule plus de 15% de la production mondiale (les Etats-Unis étant le deuxième pays producteur de pétrole avec 11,11 millions de barils soit environ 12% de la production mondiale).
La crainte des dirigeants saoudiens est de voir « la demande atteindre son maximum bien avant la production ». C’est pourquoi nous observons aujourd’hui une baisse générale de 50% des prix du baril, explique enfin l’agence Bloomberg.