L’économie circulaire, du bon pour l’emploi
[29.06.2015]
Les produits durables, réutilisables et recyclables mobilisent plus de main d'œuvre. Selon l'Institut de l'économie circulaire, près de 600.000 personnes en France travaillent déjà dans ce secteur, et 200.000 à 400.000 emplois pourraient s’y ajouter.
Sept secteurs, répertoriés par l'Ademe comme étant constitutifs de l'économie circulaire concernent ces potentiels nouveaux emplois.
Ces sept secteurs sont respectueusement les suivants : l'approvisionnement durable ; l'éco-conception ; l'écologie industrielle et territoriale ; l'économie de fonctionnalité ; la consommation responsable ; l'allongement de la durée de vie des objets ; le recyclage et la valorisation des déchets.
Le principal pilier de l’économie circulaire repose sur le recyclage, l'allongement de la durée de vie des produits et l'approvisionnement durable et couvre l'ensemble des activités de protection de l'environnement, de la gestion des eaux usées à la remédiation des sols, de la récupération d'objets usagés à la production d'énergies renouvelables.
D’après l’institut de l’économie solidaire, " l'économie de fonctionnalité, l'éco-conception ou l'écologie industrielle, qui sont des disciplines étayées sur le plan académique, restent relativement peu étudiées à une échelle macroéconomique.
De nombreux exemples montrent pourtant qu'un potentiel de création d'emplois important existe pour chacun de ces piliers".
C’est pourquoi il est aujourd’hui difficile de mesurer la possible augmentation d’emplois dans l’ensemble des composantes de l’économie circulaire.
L’économie de fonctionnalité, dont le principe est de remplacer la vente de produits par la vente de l’usage est " généralement fortement créatrice d'emplois", estime l'étude, et doit continuer son chemin de croissance.
L’éco-conception est le fait de prendre des mesures dès la conception d’un produit afin d’optimiser l'efficacité de l'utilisation de la matière.
Ce principe peut être mis en œuvre aussi bien dans les entreprises engagées dans les éco-activités que dans des entreprises traditionnelles.
L’avantage est que celles-ci se positionnent comme un acteur durable auprès des consommateurs mais elles y voient un gain économique également puisqu’elles limitent leur vulnérabilité face aux variations de prix des matières premières.
Quant à l'écologie industrielle, dont l'objectif est d'optimiser les flux de matières entre entreprises, certaines démarches promettent un bel avenir même s’ " il n'existe pas à ce jour en France d'évaluation macroéconomique des contributions des démarches d'écologie industrielle en termes d'emplois" , comme l’exemple de la SNCF, qui valorise les matériels roulants et les rails radiés.
L'économie verte semble moins affectée par le chômage que le reste des secteurs, le secteur est en pleine montée en puissance puisque dès 2017, 100 000 emplois pourraient être crées.
Ces sept secteurs sont respectueusement les suivants : l'approvisionnement durable ; l'éco-conception ; l'écologie industrielle et territoriale ; l'économie de fonctionnalité ; la consommation responsable ; l'allongement de la durée de vie des objets ; le recyclage et la valorisation des déchets.
Le principal pilier de l’économie circulaire repose sur le recyclage, l'allongement de la durée de vie des produits et l'approvisionnement durable et couvre l'ensemble des activités de protection de l'environnement, de la gestion des eaux usées à la remédiation des sols, de la récupération d'objets usagés à la production d'énergies renouvelables.
D’après l’institut de l’économie solidaire, " l'économie de fonctionnalité, l'éco-conception ou l'écologie industrielle, qui sont des disciplines étayées sur le plan académique, restent relativement peu étudiées à une échelle macroéconomique.
De nombreux exemples montrent pourtant qu'un potentiel de création d'emplois important existe pour chacun de ces piliers".
C’est pourquoi il est aujourd’hui difficile de mesurer la possible augmentation d’emplois dans l’ensemble des composantes de l’économie circulaire.
L’économie de fonctionnalité, dont le principe est de remplacer la vente de produits par la vente de l’usage est " généralement fortement créatrice d'emplois", estime l'étude, et doit continuer son chemin de croissance.
L’éco-conception est le fait de prendre des mesures dès la conception d’un produit afin d’optimiser l'efficacité de l'utilisation de la matière.
Ce principe peut être mis en œuvre aussi bien dans les entreprises engagées dans les éco-activités que dans des entreprises traditionnelles.
L’avantage est que celles-ci se positionnent comme un acteur durable auprès des consommateurs mais elles y voient un gain économique également puisqu’elles limitent leur vulnérabilité face aux variations de prix des matières premières.
Quant à l'écologie industrielle, dont l'objectif est d'optimiser les flux de matières entre entreprises, certaines démarches promettent un bel avenir même s’ " il n'existe pas à ce jour en France d'évaluation macroéconomique des contributions des démarches d'écologie industrielle en termes d'emplois" , comme l’exemple de la SNCF, qui valorise les matériels roulants et les rails radiés.
L'économie verte semble moins affectée par le chômage que le reste des secteurs, le secteur est en pleine montée en puissance puisque dès 2017, 100 000 emplois pourraient être crées.